Reconstructing yourself in a changing urban environment

09 April 2007

A bout de souffle?


Few articles published in Le Monde are describing the trends in the production of housing and the real estate market. After few years of a over heated market, in Paris but also in other cities of France, it seems from several indicators, experts and market measures that this speculation can not follow the same rhythm as it did. Below is a selection of an article related to this ‘hot’ topic affecting the social life of urbanites with a map showing the evolution of the real estate market since 1995.

L'immobilier s'essouffle, la construction recule
LE MONDE 05.04.07 15h18 • Mis à jour le 05.04.07 15h24
Extrait.
« Le ralentissement du marché de la vente des logements, commencé au printemps 2006, se confirme. Selon la Fédération des agents immobiliers (Fnaim) qui publiait, jeudi 5 avril, son bilan du premier trimestre 2007, les prix sont restés quasiment stables au cours des trois derniers mois, n'augmentant que de 0,5 %. Sur un an, la hausse s'établit à 6,5 %, contre 7,1 % en 2005 et 10,4 % en 2004. Les loyers n'ont progressé que de 3,2 % en rythme annuel, à la fin du premier trimestre 2007.
Mardi, les notaires franciliens avaient publié des chiffres pour 2006 qui attestaient aussi d'un ralentissement. En 2006, l'Ile-de-France a compté 237 428 transactions, soit 2,8 % de moins qu'en 2005. Les prix des maisons ont baissé de 1,9 % au cours du dernier trimestre 2006 comparé au trimestre précédent. Les prix des appartements, eux, se stabilisaient, avec des hausses contenues, de 0,7 % en petite et grande couronnes, seuls les appartements parisiens continuant d'augmenter significativement.
Dans ce climat général de retour au calme, certains secteurs géographiques parmi les moins cotés et les plus éloignés connaissent encore des hausses à deux chiffres, alimentées par un mécanisme à l'oeuvre depuis plusieurs années. Dans la capitale, par exemple, les notaires remarquent que le quartier populaire de la Goutte-d'Or a progressé de 135 % en cinq ans, tandis que le secteur très prisé de Saint-Germain-des-Prés n'augmentait que de 60 %. »